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Guide qui accompagne les maîtres d’ouvrage pas à pas dans la passation de leurs marchés pour y inscrire l'ACV, la traçabilité des bois, la gestion durable des forêts et autres critères environnementaux qui leur permettront d'optimiser l'empreinte carbone de leurs constructions. Il présente aussi l'analyse en cycle de vie et le label BOIS DE FRANCE.

Lancé avec l’ambition de transformer les pratiques du BTP, le projet Life Waste 2 Build démontre déjà des résultats concrets en matière de valorisation des ressources et de réduction des déchets. Après 12 chantiers premiers chantiers exemplaires, un premier bilan confirme que l'économie circulaire appliquée au secteur du bâtiment est non seulement possible, mais aussi bénéfique d’un point de vue environnemental, technique et économique.

Cette fiche met en avant les différentes étapes ayant permis le réemploi effectif de pierres massives entre un chantier de déconstruction et une opération de construction neuve.

Cette fiche met en avant les différentes étapes ayant permis le réemploi effectif de radiateurs fontes in situ grâce à l'intervention de l'artisan plombier et d'une entreprise de reconditionnement.

La gestion passée des eaux pluviales par le « tout-tuyau » a depuis longtemps montré ses limites : des réseaux saturés, une aggravation des ruissellements et des inondations, une pollution accentuée des milieux naturels aux points de rejets, … Désormais la gestion des eaux pluviales se doit d’être intégrée. Il s’agit de maintenir le plus possible le cycle naturel de l’eau à l’échelle du projet afin de l’infiltrer et la valoriser au plus proche de là où l’eau tombe.

Les eaux usées comprennent les eaux vannes (eaux des sanitaires : eaux jaunes et eaux noires) et les eaux grises (évier, machine-à-laver, lave-vaisselle, douche, baignoire, lavabo, lave-linge). L’enjeu est donc en amont de minimiser la production d’eaux usées, de les réutiliser le plus possible en les valorisant sur site avant de les envoyer en cycle d’assainissement.

Afin de minimiser l’usage de l’eau et maximiser le recours à de l’eau ne provenant pas du réseau, un préalable est d’identifier finement l’ensemble des usages, leur intensité et leur temporalité.. Des techniques alternatives et/ou des solutions plus économes en eau peuvent être envisagées en phase conception du projet, mais également en phase réalisation à travers le choix des assemblages et types de matériaux et l’usage de l’eau durant le chantier.

Afin de minimiser l’usage de l’eau et maximiser le recours à de l’eau ne provenant pas du réseau, un préalable est d’identifier finement l’ensemble des usages, leur intensité et leur temporalité.. Des techniques alternatives et/ou des solutions plus économes en eau peuvent être envisagées en phase conception du projet, mais également en phase réalisation à travers le choix des assemblages et types de matériaux et l’usage de l’eau durant le chantier.

La connaissance des consommations pour les usages principaux de l’eau est une donnée essentielle pour mieux conseiller, agir, et concevoir. Cette connaissance permet d’identifier les gisements d’économie et d’envisager des substitutions adaptées.